Série LAdultère « Audrey » : (Partie 24). Elle Trompe Son Mari, Malgré Elle Et Y Prend Du Plaisir.
Bertrand et Audrey étaient mariés depuis dix ans et très heureux davoir deux s de sept et quatre ans. Toutefois, depuis la naissance du deuxième, Bertrand était très frustré. Si sa femme était une maman et une ménagère parfaite, côté sexe, elle était devenue au fil du temps beaucoup trop sage et négligeait ses devoirs conjugaux, un peu trop à son gout. En effet, elle naccordait à son mari le droit de la toucher quune fois par mois, voire deux mais exceptionnellement et lors de leurs rapports qui se déroulaient toujours dans la chambre, elle faisait lamour par obligation, sans prendre la moindre initiative, toujours pressée que cela se termine. Elle attendait patiemment que son mari éjacule dans son vagin, avant de sessuyer et de se retourner pour sendormir.
Avant son mariage, Audrey était une belle et plantureuse femme. Mais aujourdhui à 32 ans, son regard était vide, malgré ses beaux yeux bleus légèrement enfoncés, ses traits étaient fins, son visage rond, ses cheveux blonds étaient coiffés en arrière dégageant ses fines oreilles. Elle était assez grande avec ses 1,65 m mais avait quelques kilos en trop. Elle avait une poitrine généreuse légèrement tombante, due à sa forte corpulence et aux deux naissances successives.
Sans négliger son hygiène, elle ne taillait les poils de sa chatte, trop fournie que tous les mois, au grand désespoir de son mari. Cétait une bonne ménagère qui aimait cuisiner, elle entretenait très bien sa maison et soccupait très bien de ses s quelle chérissait. Elle était douce, calme et gentille. Cette maman idéale shabillait le plus souvent avec des vêtements amples, sans ment suivre la mode actuelle mais qui avait lavantage de cacher ses petites rondeurs. Pourtant, même sans maquillage, elle plaisait aux nombreux hommes qui la regardait avec envie.
Comme cet agent de la police municipale qui devant lécole lattendait afin de parler un peu avec elle mais celle-ci faisait toujours sa mijaurée en répondant uniquement à son « bonjour » et tournait les talons sans demander son reste.
Par le passé, avant le mariage, Bertrand était parvenu avec grande insistance à se faire faire quelques fellations, elle avait même essayé davaler son sperme mais avait tout recraché avec dégout. À la même époque, il navait pu la sodomiser que deux fois lors de ses règles, là encore ce ne fut pas une réussite. Une fois mariés, impossible de recommencer, le mari se contentait de la prendre en levrette ou dans la position de la cuiller. Malheureusement, même ce temps-là était bel et bien révolu depuis la naissance du dernier. Le rapport sexuel nétait plus quune corvée pour elle qui ny prenait aucun plaisir à le faire, nayant jamais connu la jouissance.
Ce fut la raison pour laquelle, Bertrand regardait régulièrement en cachette des films X après quAudrey se soit endormie et se masturbait devant lécran. Il navait pas encore trompé son épouse, mais si loccasion se présentait, il nhésiterait pas à le faire. Ce qui arriva deux ans auparavant, ce jour-là sa belle-sur dont le couple nétait pas aux plus beaux jours, lui montra quelques intérêts. En effet, son mari découchant une nouvelle fois, Sandrine se retrouvant seule à la maison avait une fuite deau sous lévier.
Après avoir téléphoné à Audrey, celle-ci demanda à son mari daller la dépanner. En discutant avec lui, elle lui avoua quelle était en manque et quelle se posait des questions sur une possible séparation :
Tu sais Bertrand, Cédric nest pas du tout lhomme que jattendais, il me néglige et nen fait quà sa tête et me trompe tous les jours avec sa collègue. Il ne rentre pas avant 22 heures.
Ta sur cest tout le contraire si tu veux savoir. Depuis la venue de Gaétan, elle ne baise plus, elle naime pas ça.
Je ne la croyais pas comme ça. Moi, jadore, si tu veux ...
Sandrine installée à côté de son beau-frère en disant cela, frôlait de la main une de ses cuisses. Cen était trop pour lui qui avait compris ce que sa belle-sur voulait. Ils sembrassèrent fougueusement et firent lamour comme cela ne leur était pas arrivé depuis bien longtemps. Depuis ce jour et pendant un an et demi, jusquà son divorce, Bertrand venait un soir sur deux contenter la sur dAudrey et partait tout heureux davoir éjaculé dans le vagin ou le rectum ou la bouche de la belle-sur. Tous les deux, avaient trouvé le moyen de satisfaire leur besoin sexuel.
Seulement, Sandrine connu quelquun et depuis deux mois tout était à refaire. Bertrand reprenait ses masturbations nocturnes pour se vider les bourses. À la maison, Audrey avait ment vu la différence, elle sapercevait que depuis quelques semaines son mari était grognon et de plus en plus demandeur de sexe. Ces envies de faire lamour lui reprenait et cela la perturbait. Lorsquelle lui en avait parlé, il lui avoua quil avait eu une maitresse et que si elle ne changeait pas son comportement, il ne se gênerait pas den trouver une nouvelle :
Tu mas trompé ? Tu ne maimes plus ?
Mais si je taime mais tu ne comprends pas, le problème, cest toi
ma chérie.
Après une longue discussion, ils sétaient dit tout ce quils avaient sur le cur sans jamais élever la voix, ils étaient restés calmes et posés. Cela ne leur était jamais arrivé, jusquà ce soir, ils navaient jamais abordé le sujet de la sexualité. Audrey se remit en question, elle pensait que ce quelle donnait à son mari un dimanche par mois était suffisant pour lui aussi. Mais lorsquelle apprit quil se branlait presque tous les soirs devant la télé, elle comprit quelle était fautive et avait promis de faire des efforts.
Toute la semaine suivante, dès quelle se retrouvait seule, pendant que Bertrand était à la télé, elle se mettait devant lordinateur et alla, elle aussi, regarder des films porno pour femme. Elle consultait aussi les forums pour savoir si certaines femmes étaient comme elle et ce quelles faisaient pour résoudre ce genre de problème. Elle sétait toutefois découverte un petit secret, elle était excitée lorsquelle voyait une femme en train de faire lamour avec un homme en uniforme. La veille, en regardant une dernière vidéo, avec un gendarme, elle glissa sa main dans sa culotte et sentit quelle mouillait fortement.
Elle avait attendu que son homme monte au lit et vint se blottir sans quil lui demande, elle glissa sa main dans son slip et le caressa. Ils avaient fait lamour en levrette, même si elle navait pas atteint lorgasme, elle eut plaisir à le faire, rendant son mari fier de ce quil lui arrivait. Elle lembrassa sur la bouche, se retourna en disant : « bonne nuit mon chéri », avant de sendormir. Bertrand neut pas besoin de se relever cette nuit-là, il nen revenait pas. Quavait fait sa femme pour lui demander de baiser. La petite conversation de lautre soir portait ses fruits et il en était heureux.
Mais cela ne se reproduisit plus, la routine semparait de nouveau de ce couple au grand dam du mari qui cherchait désespérément une maitresse. Cela était très difficile pour lui, à son travail, il ny avait que des hommes et lorsquil emmenait les s au sport, il navait pas loccasion de faire de belles rencontres. Sandrine ne voulait plus coucher avec lui non plus, même si elle avait adoré les moments passés avec lui. Elle ne voulait pas retomber dans un adultère qui lui serait ment néfaste un jour ou lautre.
Ce ne fut pas le cas de sa femme, cette maman qui était à mille lieues de baiser avec quelquun dautre que son mari. Et pourtant, il y avait de cela un mois, elle était très en retard pour emmener les s à lécole.
Elle remonta dans sa petite voiture dont elle avait besoin car habitant à lextérieur, elle ne pouvait pas aller à pied faire ses courses, aller chez le coiffeur ou chez le médecin, ni même au super marché se trouvant à lautre bout de la ville. Ce jour-là, elle avait rendez-vous chez le docteur à 10 heures et devait rentrer se préparer. Il était déjà 8h45 donc très en retard. Elle démarrait la voiture, lorsque la sonnerie de son portable se mit à retentir. Machinalement, elle décrocha, passa la seconde et pris à droite sans marquer véritablement le stop.
Malheureusement, un agent de ville se trouvant sur place, lui fit signe de sarrêter, la fit garer sur un emplacement de stationnement et vint la contrôler. Elle connaissait cet agent de la police municipale, il essayait toujours de laborder depuis son arrivée dans ce village. Il sapprocha de la vitre et lui demanda ses papiers. Elle se tourna dans tous les sens, posa son portable dans le vide poche mais ne trouvant pas son sac à main, elle se rappelait quelle lavait oublié sur la table de la cuisine.
Je suis vraiment désolée Monsieur lagent, mes papiers sont à la maison. Nous pouvons y aller et je vous montrerai mon permis.
Savez-vous pour quelles raisons je vous ai arrêtée ?
Non ! Un contrôle je suppose. Dit-elle en sachant très bien quelle avait le tel à la main. Mais lavait-il vu se demanda-t-elle.
Vous avez brulé un stop, vous navez pas votre ceinture et de surcroit, vous téléphoniez en conduisant. Allons voir vos papiers, je vous suis et nessayez surtout pas de me semer, je vous connais.
Cétait la catastrophe, elle reconnaissait tous les faits et se demandait ce quil lui était passé par la tête pour en être arrivé là. Il ny avait quune seule solution, cétait dêtre le plus agréable possible avec cet agent qui la connaissait depuis un moment. Elle linvita donc à entrer et lui proposa un café. Il sortit son document, un stylo et les posa sur la table de la cuisine en vérifiant permis de conduire et carte verte de lassurance :
Bon ! De ce côté-là, tout va bien, je ne vous verbalise pas pour non présentation de papiers.
Merci Monsieur lagent. Dit-elle en lui remplissant sa tasse.
Ne me remerciez pas Madame X, pour le reste, vous savez que vous allez perdre de nombreux points.
Non ! Sil vous plait ! Jen ai déjà perdu trois pour des excès de vitesses de mon mari. Vous avez bien vu quil ny avait personne lorsque je suis passée au stop. Ne faites pas cela je vous en supplie. Implora-t-elle en faisant mine de pleurer, se prenant la tête à deux mains.
Ceinture 3 points, téléphone 3 points et le stop 4 points. Si je compte bien, vous navez plus de permis Madame.
Il prit son stylo et commença à remplir la contravention. Cet homme semblait maniaque, il sappliquait. Son bras gauche posé sur la table, sa main droite, écrivait en essayant de faire sa plus belle écriture. Audrey restée debout, imaginant le pire, ne savait plus quoi faire, lagent navait pas lair de se soucier de son problème.
Tout dun coup, elle se remémora la fille qui sétait faite arrêter par le gendarme dans une vidéo X, celle-ci navait pas hésité de le séduire et de baiser avec lui afin quil la laisse repartir. Elle fixa le visage du policier municipal et saperçut quil avait quelques ressemblances avec lacteur porno de ce film. Serait-elle dans lobligation den arriver là ? En était-elle au moins capable ? Se demanda-t-elle. Puis en réfléchissant un peu plus, elle se dit : « Tu le fais bien avec ton mari, même si tu naimes pas »
Audrey se jeta à leau, elle ne pouvait pas imaginer une seule seconde de perdre son permis de conduire, elle en avait trop besoin. Elle se mit assise à côté de lagent et le regarda écrire. Leurs regards se croisèrent et elle posa ses deux mains sur celle qui nécrivait pas :
Dites-moi ! Que pourrais-je faire pour que vous fermiez les yeux. Lui demanda-t-elle en prenant son plus beau sourire.
Et vous ? Quêtes-vous prête à faire pour que je déchire la contravention ?
Lagent posa son stylo sur la table, déboucla sa ceinture, enleva son bouton et descendit sa fermeture éclair :
Ça vous dit une petite fellation en gorge profonde ?
Audrey savait désormais ce que cela voulait dire, elle ne lavait jamais fait à son mari et le sperme la dégoutait mais son permis était en jeu :
Vous me promettez que vous ne me verbaliserez pas ?
Tout dépend de vous, une pipe et je supprime le téléphone et plus, je déchire tout, je vous le garantis.
Sans répondre, Audrey savait quelle devrait faire bien plus avec lui, il navait pas lair à se faire manier à la baguette. Ce fut contrainte et pratiquement e, quelle sagenouilla devant lui et sortit son sexe qui commençait à prendre forme. Heureusement pour elle, il nétait pas monté comme un éléphant, elle devrait parvenir en le rentrer entièrement dans sa bouche, pensait-elle. Elle commença à prendre son pénis dans la main et fit de longs mouvements coulissant le long de sa hampe afin quil obtienne un début dérection. Puis elle avala son gland décalotté en aspirant et en tournant sa langue tout autour. Lagent municipal fermait les yeux en poussant de petits gémissements, il avait lair dapprécier.
Il lui tenait le derrière du crâne sans forcer, lui caressant plutôt sa chevelure. Au fur et à mesure quelle le branlait et quelle lenfonçait un peu plus en bouche, sa verge se durcissait et lorsquelle lavala entièrement avec un haut le cur, elle sentit couler de sa chatte un peu de cyprine. Audrey était très excitée, ce quelle était en train de faire au policier semblait lui plaire.
Elle fut contrainte de ressortir sa queue, la branla et lavala de nouveau tout en faisant des va et vient avec sa tête. Elle avait dans ses pensées les images de ce film et sen inspirait. Le policier se retira, la regarda et déposa un baiser sur ses lèvres :
Cétait bien ? Demanda-t-elle timidement.
Tu es une belle cochonne ma petite. Maintenant tu es prête à quoi ? Tu ne vas pas me laisser dans cet état. Répondit-il en montrant son érection. Relève-toi et embrasse-moi.
Audrey ne faisait plus semblant, elle mouillait énormément et avait envie de baiser avec cet homme en uniforme. Elle se releva et vint se coller à lui, posa sa bouche sur la sienne, sa langue força le passage et tourna tout autour de la sienne, elle devenait chaude comme de la braise. Toutefois, elle ne savait pas sil fallait quelle prenne les devants, elle attendait plutôt que son amant dun jour lui indique la marche à suivre. Dautant plus que lorsquil lui donnait des ordres, elle appréciait énormément.
Couche toi sur la table. Lui dit-il dun ton sec.
Se rappelant des propos tenus par lactrice, elle releva entièrement sa robe, laissant son postérieur à la merci du policier puis elle répéta :
Oui ! Prends-moi comme ça. Par derrière cest bon.
Il ne pouvait plus attendre, il baissa sa culotte jusquà ses chevilles, présenta son sexe entre ses deux lèvres, sapercevant que la fente suintait :
Mais tu mouilles terriblement ma salope, tu voulais une bite. Dit-il en la pénétrant.
Oh ! Oh ! Ouah ! Cest bon ! Oui plus fort. Gémissait-elle sans faire semblant.
Audrey sentait comme une brûlure lui monter dans le ventre, à chaque coup de reins du policier, cétait de plus en plus évident elle allait atteindre lorgasme :
Encore ! Oui ! Je viens ! Oh ! Oui
.
Pour la première fois de sa vie, elle connut la jouissance, cétait terriblement bon, tout son corps se tendit et un torrent de mouille coula inondant la verge de lagent qui venait de sortir de sa chatte. Il enleva sa capote et envoya son sperme sur les fesses de la jeune femme qui se relevait. Elle se retourna et vint une nouvelle fois lembrasser avant de lui demander :
Comment cest ton petit nom. Moi cest Audrey.
Martial, pour te servir. Dis-moi on peut se revoir ?
Sans hésitation, Audrey dit : « oui », elle avait hâte de renouveler lexpérience avec lui. Il déchira la contravention et quitta la maison après lui avoir fait une dernière bise et échangé son numéro de portable. Malheureusement, confinement oblige, leur liaison secrète ne put se prolonger. Elle navait plus revu son partenaire dun jour et après le confinement, elle avait avoué à son mari son adultère. Celui-ci se précipita pour acheter un uniforme et ils avaient fait lamour ainsi reproduisant le même scénario. Une nouvelle fois, Audrey pris son pied, elle navait plus besoin Martial et tout le monde y trouva son compte.
Chères lectrices et chers lecteurs, nhésitez pas à laisser votre commentaire. Je vous en remercie par avance, je compte sur vous.
Si comme Audrey et Bertrand, vous avez envie de raconter vos histoires damour ou de sexe, contactez-moi par Email, avec votre collaboration, jécrirai votre propre récit. cyp.perruche@orange.fr
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